GAY-T
Forum GAY

La peur de l'amour pour les hommes

Créé par Jayzone59, le 23/04/22 à 23:46.

Mis à jour le 18/10/2022 avec 9 participations.

avatar Jayzone59

Jayzone59

#397750 - 23/04/2022 à 23:46

La peur de l'amour peur surgir peut importe l'âge, peu importe que vous ayez eu des relations ou non dans votre vie, pour ma part j'ai été habituer à l'amour des femmes et à la solitude et c'est sans doute grâce ou à cause de cela que aujourd'hui j'ai une peur de l'amour, ça se traduit par l'incapacité d'être sympathique envers un garçon quand se dernier s'intéresse à vous, vouloir le faire fuir pour ne pas lui faire du mal mais surtout pour se protéger, suis-je le seul à ressentir ça ?
avatar Karambole

Karambole

#397993 - 25/04/2022 à 22:42

Non tu n'es pas le seul, je ne sais pas trop comment sortir de cette peur.
avatar Un Ancien Membre

un ancien membre

#398097 - 27/04/2022 à 10:49

je l'ai connu à ma première expérience ! la personne avait peur de s'engager et ne s'assumait pas complètement..
avatar Un Ancien Membre

un ancien membre

#398233 - 29/04/2022 à 02:11

Cc comment allez vous Moi je suis un Africain âgé de 18 ans. Je suis à la recherche d'un homosexuel qui m'aidera à venir chez lui pour qu'on puisse bien se baisé
avatar Cinetique

cinetique

#398284 - 29/04/2022 à 16:21

Bonjour Il faut peut-être essayer de comprendre pourquoi vous auriez peur de l'amour d'un autre homme. Est-ce que vous n'assumez pas encore bien votre homosexualité ? C'est un des facteurs possible. Si on ne s'assume pas totalement, on n'est pas prêt pour une relation, car elle rendra réelle une homosexualité qui fait encore peur. Cela peut être aussi qu'une relation amoureuse oblige à se montrer en couple, donc à faire son coming-out, à présenter sa moitié à ses amis, sa famille ... Est-ce que vous avez peur de l'échec d'une relation amoureuse ? C'est malheureusement le lot de tout le monde, (gay, bi, hétéro, etc.) On ne tombe pas sur le/la bon/bonne toujours du 1er coup. Mais l'échec d'une relation permet aussi de mieux définir ce qu'on cherche, ce qu'on veut et ne veut pas. Bien sûr, on le vit comme un échec personnel. Mais c'est aussi une étape dans la construction et la compréhension de soi, de ses ambitions et attentes. Et c'est également un apprentissage (de soi et de la vie). L'échec d'une relation peut engendrer de la souffrance, car certain(e)s partenaires peuvent ne pas être délicats, sensibles, faciles à vivre ... Difficile de se blinder, même si, au fil du temps et des expériences de la vie, on finit par apprendre à gérer au mieux cela. Être entouré (amis, famille) aide beaucoup. C'est un peu décousu, mais ce sont des pistes de réflexion.
avatar Stefrem

stefrem

#398872 - 07/05/2022 à 19:00

Je rebondis sur la réponse de Cinétique Bien sûr il y a une courbe d'apprentissage et une maturité progressive et cela est vrai pour tout le monde (sexes et genres confondus) Bien sûr il est difficile d'aimer un autre, et surtout de se faire aimer en retour quand on ne s'aime pas, et la encore c'est vrai pour tout le monde La spécificité LGBT c'est l'acceptation de soi et du regard des autres (pas celui que l'on aime mais les autres : familles, amis, voisins ....) parce que, même si on a fait des coming out en bonne et due forme, l'acceptation des autres n'est pas ni garantie ni complète ... et qu'il faut donc avoir suffisamment d'estime de soi pour passer outre La chance d'être LGBT (par rapport aux hétéros) c'est de pouvoir se poser la question... où je suis moi même homophobe (au fond de moi). Il faut comprendre, qu'aucun être humain ne s'aime complètement, mais que l'hétéro au fond ne sait pas trop ce qu'il n'aime pas de lui (je ne parle pas des critiques sur son corps qui ne sont que le reflet et non la cause) Bref la bonne nouvelle c'est qu'en se posant la question de notre propre regard négatif sur notre LGBTphobie on arrive à des petits pas concrets qui renforcent notre estime personnelle.... et nous apprennent à dépendre de moins en moins du regard des autres (ceux qui n'aiment pas les LGBT) sans pour autant avoir besoin d'être dans le conflit/la provocation avec eux. Après, il n'en restera pas moins vrai que l'expérience affective (couple ou pas mais au delà du sexe) est compliquée pour tout le monde dans la durée (cf statistiques de divorces, et que le fait d'avoir ou pas des enfants ne change rien... sinon cela se verrait dans les chiffres)... mais que les points de repères pour les LGBT sont plus compliqués car en fait chacun doit inventer sa vie Donc être LGBT c'est une chance de prendre en main sa vie pour produire sa propre vie et non reproduire les modèles théoriques !
avatar François76

François76

#400832 - 26/05/2022 à 22:03

Bonsoir Jayzone59, Franchir le pas est toujours difficile ! Il est toujours question de rompre un équilibre ! Nous l'avons tous oublié, mais quand nous apprenons à marcher, nous nous mettons tous en danger pour ces premiers pas, qui avec un proche, une nounou pour se jeter dans ses bras, se saisir d'un biscuit... Eh bien, tu es dans la même configuration, sauf que le contexte t'apparaît moins sécure ! Mis à part, si le garçon est "toxique", tu risques peu, une aventure de 5mn, ou pour la vie ! il t'a fait des avances, il te plaît et bien franchi le pas ! Belle soirée P.S. : Tous les animaux, humains y compris, nous nous posons tous ce type de question. Si tu es en ville, observe les pigeons...le mâle fait sa parade, mais parfois se prend "une veste", Mais il se remet en selle et repart de plus bel !
avatar Un Ancien Membre

un ancien membre

#421500 - 27/09/2022 à 01:50

La peur de s'impliquer dans une relation avec un homme est aussi la peur de souffrir encore ou d'y trouver plus de plaisir. Mais il faut juste accepter d'être heureux quel que soit le partenaire
avatar Un Ancien Membre

un ancien membre

#425549 - 18/10/2022 à 20:09

> Citation de **Ancien membre** #398233 Ahaha J'ai rie Sinon je ressens la meme chose que toi Jayzone
Écrire une participation