Pensées sur ce qu’est ma vie

Bonsoir Sam, Merci de ton partage qui s'ajoute à ceux qu'on trouve régulièrement sur le forum. J'ai été à ta place, et j'estime encore l'être de différentes façons. Je t'invite à lire des forums similaires pour trouver des réponses qui peuvent t'encourager. 2 remarques simplement : - Les gens qui semblent si "heureux e pleins de vie" se sentent souvent vide et triste. Il ne faut pas se fier aux apparences. - Tu dis que c'est comme ça depuis "20 ans" et que tu es "destiné à finir seul" comme si tu étais en fin de vie... Je dois dire que j'ai vérifié ton profil pour voir que tu as bien 24 ans et pas 60 ! 😅 Ma question étant donc : étais tu toujours aussi seul même enfant et adolescent ? À ce moment là ta famille était certainement plus présente ?

Peut être que avoir des loisirs ou des activités en dehors du travail ou des études t aiderais a plus te sociabiliser et pouvoir engager des discussions.

Hello, j'espère que ça ira mais je te conseille avant tout de chercher des amitiés car moins de stress et moins d'obligations. Comme dit plus haut, augmente tes chances de rencontre en réel et non sur le net. Sorties, loisirs , salle de sport, aller au ciné et oser faire le premier pas si ce n'était pas le cas. Tu as l'affaire bien trop tôt, vu ton âge, tout doit être pour toi une occasion de découvrir de nouvelles passions,de nouveaux amis. Maintenant je ne te connais pas personnellement et si tu es du genre à aller vers les gens . Donc profite des retours faits dans des posts similaires et sers-en toi , tout peut arriver. En plus tu es as dans le sud au soleil et tout. Voila. ICarter

Bonjour, D'expérience, quand on est uniquement focalisé sur cela, on est en attente et cela se ressent, on est moins attractif. Et en plus on risque de se "contenter" du premier venu qui voudra de vous. Tout cela n'es pas bon. Vis, trouves toi des loisirs, des connaissances qui deviendront ou pas des amis; mais n'essaie pas de tout investir sur la recherche d'une relation. Cela viendra en son temps. A 24 ans faut relativiser !!! Bon courage

et bien tien... moi j'ai 60 ans, et ça fait aussi 20 ans (même plus) que c'est comme ça....... Alors je me considère comme un ermite, de bien des façons, et cela me convient très bien... Si un jour "couple" il doit y avoir, et bien très bien et j'y suis prêt... Et s'il n'y a pas, et bien je ne regrette rien, et ai eu une vie bien remplie et très riche, de bien des manières.... Et j'ai encore un "programme" pour les années à venir bien rempli ! Ce qui un peu m'irrite, c'est que: si toi à 24 ans cela parait comme "anormal", moi à 60, cela parait "normal" à bien des gens... Mais bon, c'est ainsi.... les "vieux pédés"... on "zape".... 🤣 Mais je "plussoie" à ce que dit Renouveau: ne surtout pas se contenter du "premier venu", "faute de.....". Ca, c'est à ne jamais faire.... Or, oui, la solitude (qui est intolérable) nous y pousse... et pas pour notre bien.... "mieux vaut être seul que mal accompagné..." Mais, oui, dans sa solitude, "rester ouvert", et ne jamais se résigner, cela est très important. Même si, à force de solitude, "accueillir" quelqu'un dans notre vie est de plus en plus difficile, avec le temps... Mais je crois fermement que si "cela" doit arriver, et bien "cela" arrivera, et à un moment où l'on s'y attendra le moins.... Et de fait, il ne faut pas en oublier pour autant de vivre, tous les jours.... même si le lit vide est encore et toujours douloureux à accepter, le soir.... Mais..... espoir espoir 😊 En tout cas, la Vie a ses mystères... et perso je lui fait confiance... si "cela" arrive, et bien "cela" arrivera... 😊 Mais il est clair (et je vais rejoindre aussi Icarter), que dans une relation, le TEMPS est TOUJOURS un allié de poids ! Avec bien sur: le Réel. Le virtuel "tue" la relation, quelle qu'elle soit. Et je n'en démordrais pas. 😇 Et je vais ajouter que, perso, à 24 ans, j'étais plongé dans des études, qui m'accapparaient, alors rechercher "un compagnon" n'était vraiment pas du tout ma préoccupation du moment... Mais là aussi: époque, époque...

Hello Sam on n'a pas eu de retour de ta part, nos interventions ont pu t'aider au moins. Et quelle chose penses tu te ferai sortir de ta situation et que penses tu faire pour réaliser ton vœux. Tu es le seul à en avoir la solution, on ne te connait pas vraiment. Donc quelles sont tes passions ? Quand passes tu de bons moments en faisant quoi ? Si tu devais te juger , quel serait ta qualité première ? Celle que tu mets le plus en avant? ICarter

Même situation, que je te comprends. Ce que je trouve dommage, c'est que tout le monde se plaint mais personne ne fait rien. Il y a une vraie potentialité.

> Citation de **Jeunegay92** #520291 et que proposes tu ? (et c'est une VRAIE question)

Bonjour à tous ! Je ne répondrai pas à ce qui a été dit sur ce forum, à part sur le déballage existentiel de celui qui l'a créé... Tant pis s'il a disparu mais je voulais apporter mon opinion sur le sujet initial. Déjà, faire un bilan aussi sombre sur sa petite vie de jeune adulte, c'est désolant. Je peux comprendre le mal-être, n'ayant pas eu une enfance facile, puis une adolescence compliquée et, finalement, une vie tumultueuse... Je pourrais m'en plaindre, pleurer parce que je n'ai pas eu ce que je voulais. Mais il faut savoir se prendre en main, réagir pour aller de l'avant. La recherche absolue d'un idéal, tout en partant avec une mentalité négative, est forcément vouée à l'échec. Se focaliser sur un objectif ne doit pas occulter le reste, si ça t'empêche d'être heureux et d'en oublier de vivre, tout simplement, ça devient un calvaire. Alors, il faut alimenter les passions que l'on a, hors la recherche effrénée de l'amour à tout prix (notion très surfaite à mon humble avis), aller vers les autres avec sympathie, sans arrière-pensée et apprécier le monde... je ne dis pas que c'est aisé, mais ça s'apprend, à la longue on se satisfait des petits bonheurs de la vie, on affectionne les moments passés en bonne compagnie, tout en se créant un univers privé, bien à soi. Vivre, ça ne se résume pas au sexe ou au couple, même si notre instinct primaire nous poussera toujours vers l'union, c'est ancré dans nos gènes. On peut très bien surmonter le manque affectif en s'occupant l'esprit avec d'autres centres d'intérêt. Il faut arrêter de penser que la normalité est le couple, la famille, la reproduction, tout ce que le patriarcat a voulu maintenir depuis des milliers d'années. La vraie liberté, c'est celle du choix : choisir de ne pas s'encombrer d'espoirs futiles, dévastateurs par l'emprise qu'ils ont sur notre existence, choisir le confort du célibat plutôt que l'angoissante vie de couple... Pour mes derniers propos, je m'explique : ça fait bien longtemps maintenant que je vis seul et, du coup, j'ai pu profiter de la vie comme je l'entendais, assouvissant mes passions comme le cinéma ou les comics, les voyages, le farniente... plus besoin de plaire, voire plus envie, tellement je suis bien dans mon coin. Le peu de couples que je côtoie, je ne les trouve pas heureux, souvent soucieux, angoissés par leur avenir, frustrés par moults désirs inassouvis... Voilà, c'était du coup mes pensées sur, non pas ma vie, mais la vie en général, je m'approprie le sujet, 😊

la question de la reconnaissance des autres pour sa propre évaluation et la question du choix de vivre à deux ou seul se croisent exactement au centre de notre conscience d'être au monde pour quelque chose d'important... ou dit autrement, c'est dans la mesure où l'on se recherche que l'on trouve les moyens de se faire connaitre, car chaque destin côtoie, même furtivement, le destin d'autres personnes et c'est de cette subtile certitude que peut naître l'incertitude de n'être pas reçu par les autres... paradoxe ? non puisque c'est uniquement la partie "visible" de notre personnalité qui nous signale comme un iceberg mais ne dit rien du choc qui s'en suivra...